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dimanche 13 juillet 2025
Saint Hippolyte

C'est vers la Saint Hippolyte
Que le raisin change plus vite.

Que s'est-il passé ce jour ?
En 2010 : Article de NWZ Online au sujet de Tatjana Icône loupe
En 1979 : Article de Journal officiel de la République française au sujet d'Aymard Icône loupe
En 1975 : Baptême de Marie-Astrid
En 1936 : Naissance de Cécile d'Argentré
En 1931 : Article du Figaro au sujet de Paul-Yves d'Argentré Icône loupe
En 1924 : Article du Gaulois au sujet de Gérard Icône loupe
En 1920 : Naissance de Monique Personnaz
En 1919 : Article du Soir au sujet de Maurice Icône loupe
En 1919 : Article de La Libre Belgique au sujet de Maurice Icône loupe
En 1876 : Lettre de Gaetano Paolucci, marchand de piété à Rome à Édouard Icône loupe
En 1825 : Annet est nommé chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis et reçoit à ce titre une pension de 500 fr.
En 1806 : Lettre de M. Le Baron à Frédéric Icône loupe
En 1773 : Contrat de mariage de Gilbert et Marie Guillouët
En 1772 : Mariage religieux de Joseph-Thomas d'Espinchal et Gabrielle de Gaucourt
En 1642 : Document Icône loupe Interrogatoire de Samuel Saurry d'Henry de La Guette au sujet de Josué
En 1642 : Lettre de François d'Ornano, gouverneur du château de Tarascon à M. de Leautaud, lieutenant au gouvernement du château de Tarascon Icône loupe

Le cousin du jour

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Cette rubrique met à l'honneur Bruno qui a le plus visité notre site Internet depuis un mois. Bravo !

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Prochains anniversaires

Aujourd'hui : 89 ans de Cécile de La Sayette

Demain : 13 ans de mariage de Hyacinthe et Benjamin Mutin

le 16 juillet : 7 ans d'Alfred Mutin

le 15 juillet : 13 ans de Maxence

le 16 juillet : 27 ans de Clémentine

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L'anecdote du jour

Gabriel lance toutes les démarches pour faire reconnaître sa grandesse d'Espagne et le 2 avril 1829, il fait faire devant notaire un acte de notoriété attestant de ses droits.

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Potins-Cousins

le 8 août : Olivier et Laurence fêtent leurs 30 ans de mariage au Rocher. Bravo pour cet an...

le 7 août : Les VMF de la Mayenne sont en ...

le 10 juillet : Albin est reçu au Brevet avec la mention très Bien. Félicitations !...

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Les porteurs du nom

La famille compte aujourd'hui :
  - 68 hommes
  - 64 femmes
  - 30 épouses

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Nouveautés du site

le 9 juillet : Mise à jour de la fiche de Édouard
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Famille Gentil de Chavagnac

Gentil
Tranché d'or et de sable à une tour de l'un en l'autre sénestrée en chef d'une étoile de sable

Origine : Franche Comté

Anoblis en 1830

Claude Joseph Gentil ( -1791)
Premier médecin des armées du Roi
épouse en 1765 Marie Basile dite Barbe Chavagnac ( -1792)
fille de Michel Chavagnac et Marguerite Hamelin
d'où :

Michel Joseph (1770-1846)
épouse (1) en 1795 Alexandrine Le Roy (1774-1819)
épouse (2) en 1806 Madeleine Verniquet (1764-1853) veuve de Gaspard Gaudin de La Grange

À la mort de son grand-père maternel, il ajoute à son nom le sien et se fait appeler le baron de Chavagnac.

Militaire puis homme de lettres, il compose des divertissements à l'occasion des grands évènements de la famille impériale puis de la famille royale sous la Restauration. Il devient directeur du Théâtre de l'Odéon en mars 1821, mais démissionne en octobre 1822 et devient lecteur du roi Louis XVIII puis de Charles X jusqu'en 1830. Il compose de nombreux vaudevilles avec Marc-Antoine Desaugiers et des pièces dramatiques et lyriques sur les contes de fées.

Il est anobli par lettres patentes du 4 juin 1830 ainsi que l'ensemble de ses enfants nés ou à naître, toute sa postérité mâles et femelles, en légitime mariage, sous le nom de Gentil de Chavagnac, mais seuls Joseph et sa seconde épouse portent le nom de Gentil de Chavagnac, ses enfants du premier mariage continuent à se faire appeler Gentil.

d'où (du premier mariage) :

  1. Alexandrine Gentil (1797-1881) épouse en 1815 Amable Beaurain (1774- )

  2. Théodore (1803-1874) épouse en 1834 Victoire Marcellot (1814-1896)
    d'où :

    1. Claire (1835-1898) épouse en 1855 Léon Vingtain (1828-1879)
      d'où postérité

    2. Lucie (1837-1871) épouse en 1858 Charles Brullé (1829-1907)
      d'où postérité

    3. Arthur (1846-1916) épouse en 1884 Geneviève Lançon (1860-1953)
      d'où :

      1. Michel (1885-1961) épouse en 1920 Elisabeth d'Anglejan Châtillon (1891-1981)
        d'où :

        1. Françoise épouse Pierre Challan-Belval d'où postérité

        2. Claude épouse Marie-Noëlle de Chérisey d'où : Vincent, Laure épouse Martin Virot, Anne, Claire, Guillaume

        3. Charlotte

        4. Philippe épouse Laurence Levard

      2. François (1886-1964)

      3. Pierre ( -1888)

      4. Lucie (1890-1994) épouse en 1923 Henri Mayran (1890-1960)
        d'où postérité

      5. Marguerite (1892-1975) épouse Paul Hugues
        d'où postérité

      6. Marie (1897-1974) épouse en 1920 Jacques Touchard (1885-1968)
        d'où postérité

En janvier 1825 (soit plus de cinq ans avant son anoblissement sous le nom de Gentil de Chavagnac), Henri rend visite à Joseph Gentil et l'interroge sur le nom de Chavagnac qu'il porte. Il s'ensuit un échange épistolaire publié dans la Gazette de France puis La Quotidienne :

Gazette de France, 24 janvier

Ayant demandé à M. Gentil, lecteur honoraire du Roi, une explication sur les motifs pour lesquels lui et sa femme portaient le nom de Chavagnac, il m'a déclaré franchement qu'il ne s'appelait point de Chavagnac ; que si en effet son nom dans la société avait été suivi de celui de ma famille, cela n'avait été qu'une simple addition faite d'après le désir qu'en avait exprimé à ses derniers instans son aïeul paternel, originaire d'Ussel, en Limousin, qui s'appelait M. Chavagnac ; mais qu'il n'avait jamais signé aucun acte public que du nom de Gentil ; que la place et les lettres de noblesse qu'il tenait de la bonté du Roi, lui avaient été données sous le nom de Gentil, et qu'enfin son nom était M. Gentil.

Le comte Henri de Chavagnac.

 

Gazette de France, 25 janvier

Monsieur, je vous prie de vouloir bien rectifier une erreur qui est échappée à votre prote dans l'impression de ma lettre, en substituant le mot paternel au mot maternel.

Vous y dites : que M. Gentil m'a déclaré franchement qu'il ne s'appelait point de Chavagnac ; que si en effet son nom dans la société avait été suivi de celui de ma famille, cela n'avait été qu'une simple addition faite d'après le désir qu'en avait exprimé à ses derniers instans son aïeul paternel, originaire d'Ussel, en Limousin, qui s'appelait M. Chavagnac. Ce n'est point son aïeul paternel, mais son aïeul maternel, qui s'est appelé ainsi, et qui a témoigné ce désir. Vous sentirez facilement, monsieur, l'importance de cette rectification.

Le comte Henri de Chavagnac.

 

Gazette de France, 27 janvier

Monsieur, votre feuille du 24 de ce mois contient une lettre de M. le comte Henry de Chavagnac, relativement à ce nom, qui est celui de sa famille originaire d'Auvergne. J'ajouterai aux renseignemens que le ton honnête et poli avec lequel M. de Chavagnac s'est présenté chez moi m'a engagé à lui donner à cet égard une déclaration franche : c'est que S. M. le feu Roi ayant daigné me conférer des lettres de noblesse, c'est avec mon nom seul que je veux, comme je dois, transmettre à mes descendans la noblesse dont il m'est d'autant plus glorieux d'être la souche dans ma famille que je l'ai reçue comme récompense de mon attachement au trône et à la légitimité. Mon nom d'ailleurs a été porté trop honorablement par mon père, M. Gentil, ancien et premier médecin des camps et armées du Roi de France, pour que je conçoive un instant l'idée de l'échanger contre un autre.

Gentil.

 

La Quotidienne, 26 janvier

Ayant demandé à M. Gentil, lecteur honoraire du Roi, une explication sur les motifs pour lesquels lui et sa femme portaient le nom de Chavagnac, il m'a déclaré franchement qu'il ne s'appelait point de Chavagnac ; que si en effet son nom dans la société avait été suivi de celui de ma famille, cela n'avait été qu'une simple addition faite d'après le désir qu'en avait exprimé à ses derniers instans son aïeul maternel, originaire d'Ussel, en Limousin, qui s'appelait M. Chavagnac ; mais qu'il n'avait jamais signé aucun acte public que du nom de Gentil ; que la place et les lettres de noblesse qu'il tenait de la bonté du Roi, lui avaient été données sous le nom de Gentil, et qu'enfin son nom était M. Gentil.

Le comte Henri de Chavagnac.

 

La Quotidienne, 28 janvier

L'insertion dans votre feuille du 26, de la lettre de M. le comte Henri de Chavagnac, déjà insérée dans la Gazette de France, me fait un devoir d'y faire une réponse nouvelle.

M. le comte Henri de Chavagnac ne m'a point fait connaître le droit exclusif de sa famille sur le nom qui est l'objet de sa lettre, et que j'ai joint au mien, il y a environ trente-quatre ans, par le motif le plus respectable ; n'en ayant la possession que par le fait et l'usage, je ne l'ai employé dans aucun acte public, et je n'ai fait qu'accomplir la dernière volonté de mon aïeul maternel, qui portait le nom de Chavagnac, et de fait et de droit ; mais si M. le comte Henri de Chavagnac croit devoir exercer à cet égard des droits de famille, les tribunaux lui sont ouverts, ils décideront, et leur décision sera une règle pour l'avenir.

Gentil.

 

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