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vendredi 29 mars 2024
Saint Benjamin

Pour la Saint Benjamin,
Le mauvais temps prend fin.

Que s'est-il passé ce jour ?
En 1962 : Il passe dix-huit mois à Angers et Raoul est envoyé en Algérie au commandement du Génie de la zone Ouest Saharien à Colomb-Béchar où il reste jusqu'à sa libération le 25 septembre 1962.
En 1957 : Article de La Croix au sujet d'Hélène Icône loupe
En 1955 : Naissance d'Anne Chatin
En 1943 : Article de L’Ouest-Éclair au sujet d'Édouard Icône loupe
En 1911 : Article de Journal officiel de la République française au sujet de Xavier Icône loupe
En 1909 : Naissance de François du Fou
En 1895 : Article de Journal des débats au sujet de Xavier Icône loupe
En 1895 : Article du Matin au sujet de Xavier Icône loupe
En 1895 : Document Icône loupe Duplicata de certificat d'inscription au sujet de Xavier
En 1873 : Après une interruption d'un an et demi, sa santé s'améliore et il doit retourner à l'armée : Lionnel est affecté au 9e régiment de dragons, pour prendre rang au 11 mai 1872. Mais grâce à son important héritage, il n'a plus besoin de sa solde pour vivre, et après quatre mois dans ce nouveau régiment, il démissionne de l'armée le 19 juillet 1873.
En 1868 : Décès d'Henri
En 1844 : Criblé de dettes, Alexandre vend par acte devant Me Veilleur notaire à Roanne la terre, le château et le mobilier de Mâtel à M. François Barjaud, ancien notaire, pour la somme de 300 000 fr. pour l'immeuble, 10 000 fr. pour le mobilier, et une rente annuelle et viagère de 10 000 fr.
En 1783 : Gilbert reçoit une gratification de 800 livres puis 1.000 livres supplémentaires en août pour l'indemniser des frais d'une longue maladie et des dépenses que va lui occasionner un voyage aux eaux.
En 1783 : Document Icône loupe Gratification de M. Bloum au sujet de Gilbert
En 1763 : Annet est alors initié à la franc-maçonnerie à la loge La Parfaite vérité à l'orient de Carcassonne, puis il devient compagnon le 4 avril.
En 1730 : Lettre d'Henri à Gaspard de Fontenu, Consul Général de France à Smyrne Icône loupe
En 1653 : Article de La Gazette au sujet de Gaspard Icône loupe

Le cousin du jour

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Cette rubrique met à l'honneur Aubin qui a le plus visité notre site Internet depuis un mois. Bravo !

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Prochains anniversaires

le 2 avril : 58 ans de mariage d'Odile et Philippe de Beauregard

le 2 avril : 67 ans de Josic

le 3 avril : 23 ans d'Alexandre Barth

le 4 avril : 50 ans de Bérangère de Miollis

le 5 avril : 25 ans de mariage de Christian de Montecler et Jacinthe du Manoir

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L'anecdote du jour

Claire Brugnon reçoit plusieurs prix : en 1989 le Painting Pittsford Award à New York, en 1991 le prix du Salon de l'ACORAM à Paris et en 1992 le Prix du Salon de Marly.

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Potins-Cousins

le 13 avril : Arnaud et Ida accueillent les VMF...

le 2 avril : Exposition des œuvres de la collection Les Océanides dans l'Atelier Tr...

le 27 février : Laurence est en séjour à Paris....

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Les porteurs du nom

La famille compte aujourd'hui :
  - 67 hommes
  - 65 femmes
  - 31 épouses

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Nouveautés du site

le 26 janvier : Mise à jour de la fiche de Céleste
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Escrocs

Plusieurs escrocs ont utilisé notre nom pour commettre leurs méfaits en donnant le change à leurs victimes.

Blaise Rousset Pierre Rousseau Robert Macaire

Robert Macaire

En janvier 2013 est jugé un escroc du nom de Robert Macaire, qui se fait appeler Jean-Luc de Chavagnac. Sur son blog , Thomas Bougueliane le surnomme le routard de la filouterie :

Les faits évoqués mardi matin renvoient à l'imagination débordante et à l'aplomb sans borne du routard de la filouterie. Le 5 mars 2010, Robert Macaire se présente dans un gîte situé à Livinhac-le-Haut, charmante commune du département de l'Aveyron. Usant d'un nom à particule, le sacripant indique à son hôte exercer la profession d'avocat d'affaires en Australie. Prise au piège, la propriétaire du gîte se lie d'amitié avec Robert Macaire, alias monsieur Jean-Luc de Chavagnac. Au cours d'un déjeuner partagé en compagnie du brillant avocat, la maîtresse de maison confie avoir vécu plusieurs années au Gabon avant d'avoir été contrainte de regagner la France suite à une violente agression classée sans suite par les autorités gabonaises. Ne reculant devant rien, Robert Macaire affirme avoir séjourné au Gabon où il a tissé des relations avec Omar Bongo – ancien président gabonais – et différentes personnalités influentes susceptibles de répondre aux requêtes de la propriétaire du gîte.

Après avoir profité des charmes de l'Aveyron, Robert Macaire met subitement les voiles sans avoir réglé la moindre nuitée. Le locataire indélicat prend toutefois contact avec son hôte afin de lui notifier son fâcheux oubli. Accordant une confiance sans faille à Mr de Chavagnac, la propriétaire du gîte n'ose pas réclamer son dû. Les jours passent et le client indélicat ne donne aucun signe de vie. L'Aveyronnaise d'adoption décide de rechercher les coordonnées de Mr de Chavagnac, censé avoir un pied à terre à Paris, dans un des somptueux hôtels particuliers de l'avenue Georges V. Une femme nommée Chavagnac réside bel et bien dans cette artère huppée de la capitale. La correspondante indique toutefois ne pas connaître un prénommé Jean-Luc.

La propriétaire du gîte cherche également à joindre le père de Jean-Luc de Chavagnac, un illustre chirurgien résidant à Biarritz. Nouvel échec ! Lassée, la femme flouée finira par prévenir la gendarmerie avant de prendre connaissance des multiples mensonges et filouteries commises par Robert Macaire.

Il est difficile d'imaginer à la vue des photos figurant dans le dossier que monsieur Macaire ait pu se faire passer pour un avocat d'affaires. Cet homme doit avoir un certain bagout, soulignait le procureur Moré avant de requérir un mois de prison ferme. Prenant compte du paiement – tardif – des nuitées opéré suite à l'arrestation du prévenu, le juge Thil a condamné Robert Macaire à quinze jours de prison ferme. Cette condamnation devrait s'ajouter à d'autres décisions, le routard de la filouterie étant appelé à comparaître devant les tribunaux de nombreuses juridictions.

Cet escroc aura certainement été inspiré par son homonyme, qui est un personnage imaginaire lié au romantisme français, figurant le bandit, l'affairiste sans scrupule, personnage créé par le dramaturge Benjamin Antier en 1823 et repris en 1835 dans une pièce intitulée Robert Macaire.

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